Vivre en moi: devenir à la fois ma liberté, et ma prison.
Au cours des dernières semaines, j'ai exploré la possibilité de créer un flipbook, en jouant sur les différents angles de vues d'une même personne, emprise par le regard de son entourage. Cette personne sera en connexion avec le spectateur, comme si ceux-ci étaient une présence inconnue. Ce sera mise en évidence par les réactions de l'acteur, ainsi que ses actions, qui seront en gradation au cours de l'histoire. On vera différentes angles et articulations du corps, de façon défensive en premier lieu (ensuite: peur, angoisse, rage, crise, panique). Enfin, l'acteur aura un regard rétrospectif sur lui-même, et autour de lui, se rendant compte de sa solitude, en créant sa propre prison. Ce besoin d'approbation devient à la fin, son vrai ennemi. Trouvera-t-elle liberté, ou restera-t-elle dans le confort de sa forteresse?...
L'idée du néant est venu à moi avec la fascination pour les lieux abandonnés. J'ai été naviguer les oeuvres faits par Fractured Porcelain, une jeune photographe avec un intérêt pour l'environement en désintégration, surtout de vieux édifices dépouillis. Je veux intégrer le monde des bâtiments abandonnés avec celui d'une recherche consciente de l'acceptation de soi. Pour l'instant, je tiens à tester l'idée de faire une animation; une sorte de flipbook. Si cela ne fonctionne pas, j'aime bien l'idée de cadres, en ordre consécutives, dégradant en grosseur et en sens. Exemple d'un lieux qui pourrait être itéressant, ici à Montréal:
Pour le moment, voicie quelques-uns de mes croquis et photographies qui vont me servir d'inspiration au cours de la production de mon oeuvre. J'ai aussi réaliser une maquette du lieu je souhaite l'installer (le mur/plafond en extansion devant l'Espace Hubert-Reeves) mais je souhaite, s'il le faut, en installer plusieurs à travers le Cégep. 
Plus à venir!
Voici aussi, une oeuvre par Laurence Demaison dont je trouve intéressante et que j'aimerais interpréter dans mon travail, d'une certaine manière peut-etre...
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| Saute d'Humeur, 2004 |
Jessica, je crois que le seul problème avec ton projet a été la présentation en classe qui n'était pas aussi complète et claire que ce que tu mets ici sur le blogue. L'idée du flip-book est bonne, l'idée de l'installation visuellement est pleine de possibilité et j'aime bien la représentation que tu en fais plus les images et tes références d'autres artistes.
RépondreSupprimerConcrètement on doit lui donner une certaine réalité et c'est ce que tu as à faire maintenant. Flip-book ou non, série d'images ou non et comment, dans l,espace pour les spectateur oui ou non et où et comment,. et associer le sujet de tes images avec les lieux d'installations. Beaucoup de matière riche à explorer et à préciser en partie au moins pour que tu puisses avancer sur un terrain solide.
Continue mais sois plus concrète SVP.